« JE LE PROTEGERAI CAR IL CONNAIT MON NOM »

A l’âge de 32 ans, j’ai perdu mon mari et je me suis retrouvée toute seule pour élever mes 8 enfants. Sans travail pendant un certain temps, j’ai trouvé par la suite une place comme femme de ménage. Bien que je ne connaissais pas Dieu, je crois que c’est Lui qui a permis que j’aie cet emploi. A cette époque ma vie était un enfer jusqu’au jour où j’ai rencontré le Seigneur.
C’est en passant par une longue maladie que cette rencontre a pu se faire. En effet j’étais possédée par plusieurs démons.

Sur le lit de la mort j’ai réclamé des personnes de « la Mission », j’avais entendu dire qu’ils guérissaient les malades. Mon cœur avait cessé de battre et j’ai vu le paradis. Deux anges m’ont dis qu’ils n’avaient pas besoin de moi et qu’il me fallait redescendre sur la terre. Mon cœur a alors recommencé à battre. J’ai demandé la prière et trois personnes sont venues chez moi. Depuis ce jour je n’ai jamais lâché la main du Seigneur car Il m’a bénie abondamment. J’ai connu des épreuves mais Dieu m’a toujours donné la victoire.
En 2003, suite à des douleurs dans le cou, on m’a fait passé un scanner qui a permis de déceler qu’une artère s’était déplacée. Le sang ne circulait pas bien et allait pénétrer dans le cerveau. Le médecin m’a alors condamnée et annoncée que je risquais une rupture d’anévrisme. Je me suis confiée en Dieu et dans la même année j’ai refait un contrôle. C’est là que j’ai vu la main de Dieu à l’œuvre : les docteurs étaient étonnés car le sang circulait normalement et l’artère avait repris sa place d’origine.

En 2006, à mon retour de vacances, j’ai eu des plaques brûlantes sur mon corps. Les médecins n’ont pas trouvé d’où provenaient ces plaies/ Même après une biopsie, ils n’arrivaient pas à lui donner un nom. C’était la première fois que le spécialiste voyait un tel cas. Il m’a dit qu’il n’existait aucun remède et qu’il me fallait vivre avec ! Le traitement prescrit ne pouvait qu’apaiser mes souffrances. Là encore je me suis tournée vers Dieu et Il s’est manifesté. Au bout de quatre mois Jésus m’a délivrée complètement. Le médecin a fait un nouveau bilan qui n’a révélé aucune trace de cette maladie : c’était un miracle !

Gilette VINGADASSALOM (Saint Louis