Je prend conscience , de l'être suprême
Celui que mon cœur a rejeté, au jour de l'allégresse
Jadis dans la folie, de mon inconscience
L'immature, dépourvu de sens
L'ingratitude de l'homme, devant un créateur compatissant
Au pied du mur, humilié par mes choix,
Le désir de tout recommencer m'accable‚ si je pouvais...
Quel issus pour les infidèles ?
Pour celui qui se détourne, de l'amour du libérateur ?
Quel issus pour celui qui a violé le plus grand commandement : aimer Dieu ?
Quel issus pour le volontaire, qui s'abrite sous les ailes obscur de l'accusateur ?
Coupable de haute trahison, sacrilège
Cheminement zélé, dans la ville de la mort
Le parcours périssable, le rétrograde,
Empreinte , la voie spacieuse des impies ,
Oubliant les mets délicieux de la table du grand Roi
Sillonne d'un pat engagé la vallée de perdition
Au pied du mur
Dans mes cendres, ils découvrent ma nudité au milieu du jour
Mon humiliation, fait le tour des alentours, ma confusion
Aucun d'eux ne compatit, l'isolement ,
Les fauves , les glaives de leurs langues, consume mon âme comprimé
Oh mon âme, relève toi de cette anarchie,
Souviens toi du bon berger,
Au pied du mur, je chante le crie du S.O.S
Le cantique de la repentance,
L'amour divin, ordonne la fin du chaos, ma délivrance,
Dessine sur mon mur une porte de sortie,
Un décor verdoyant, paisible;
Les verts pâturages, la résidence des brebis;
Au pied du trône de grâce,
Là ou tout est possible